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elric95
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MessageSujet: Actualité   Actualité Timedateicon12Jeu 23 Juin 2011 - 8:08

Malgré la finale terminée, la NBA reste active voici quelques news.
Si vous avez besoin de plus d'explications, n'hésitez pas à me faire
signe.

RUMEUR : TONY PARKER CONTRE NICO BATUM

Blockbuster trade en préparation ? Les Spurs et les Blazers pourraient s’échanger leurs frenchies.

Cette rumeur nous vient de Alex Kennedy de Hoopsworld.com. Ce dernier rapporte ce matin que les Spurs et les Blazers auraient eu une discussion avancée dans le but de mettre en place un blockbuster trade qui aurait impliqué un grand nombre de joueurs. Mais ce sont surtout deux de ces joueurs qui nous intéressent tout particulièrement.

Selon les sources du journaliste, les Spurs – qui ont démenti hier vouloir trader Parker - étaient prêts à envoyer TP plus leur premier tour de draft à Portland en échange d’Andre Miller, Nicolas Batum et leur 21e pick. Si le deal ne s’est finalement pas fait (pour le moment) c’est que les Spurs auraient insisté pour inclure Richard Jefferson et son gros contrat dans le pack.

Néanmoins, Kennedy conclut en précisant que ce deal n’est pas enterré et que les deux franchises pourraient reprendre leurs négociations afin d’affiner l’échange d’ici ce soir

TRADE : ODOM CONTRE IGUODALA ?

Ca continue de bouger en coulisses et les rumeurs (parfois assez dingues) s’intensifient.

Alors que le Los Angeles Times annonçait il y a quelques heures que les Lakers avaient offert Lamar Odom en échange du 2e choix de draft détenu par les Wolves et que ces derniers avaient refusé l’offre, continuant à demander soit Bynum soit Gasol, c’est maintenant Andre Iguodala qui pourrait servir de monnaie d’échange.

En effet, SI rapporte que les Lakers auraient également des discussions avec les 76ers au sujet du meilleur 6e homme de la ligue. L’échange enverrait Lamar aux 76ers et ferait venir Andre Iguodala à LA.

Un deal étrange et une rumeur que nous avons du mal à trouver crédible dans le sens où les Lakers ont déjà une rotation assez solide au poste 3 avec Ron Artest et Mat Barnes. A moins évidement que ce trade soit le premier d’une longue série pour les Californiens…

LE « FLEX CAP » PROPOSÉ PAR LES PROPRIOS EST REJETÉ PAR LES JOUEUR

La NBA affirme avoir fait un pas vers les joueurs, qui ne le voient pas ainsi. Lockout imminent ?

La semaine dernière, la ligue a abandonné sa volonté que tous les contrats soient non garantis. Cette décision n’a pas été vraiment prise comme une concession par les joueurs, puisque c’est quelque chose qu’ils ont déjà. Hier, en proposant ce qu’elle appelle un « flex cap », la NBA a le sentiment d’avoir fait un nouveau pas vers les joueurs en s’éloignant du hard salary cap initialement proposé. Ce n’est pas l’avis des joueurs.

Hier les joueurs et les proprios se sont rencontrés pendant plus de quatre heures. La proposition présentée par les boss, le « flex cap » consiste en une limite de la masse salariale se montant à 62 millions de dollars par club. Contrairement au hard cap, qui ne peut être en aucun cas dépasser et que les joueurs refusaient en bloc, il y aurait des exceptions pour pouvoir dépasser ce montant, certes moins nombreuses que dans le système actuel : cette limite pourrait être franchie par les équipes resignant leur propre joueur (Larry Bird Rule) et pour les contrats « mid-level exception ». On serait quand même loin du CBA actuel qui autorise largement de dépasser le salary cap (58 millions cette année) et qui permet aux franchises de dépasser les 70 millions de masse salariale à condition qu’elles payent un dollar par dollar au-dessus de ce seuil.

Si Stern a qualifié cette proposition de « virtuellement le mieux que nous puissions faire » pour éviter le lockout, les joueurs, qui y voient un hard cap déguisé, ne partagent pas cet avis :

« A ce stade, les deux camps sont toujours très éloignés sur le sujet du hard cap, et il existe encore des points économiques à régler« , déclarait après la réunion le président de l’association des joueurs Derek Fisher.

Si Stern a expliqué que ce « flex cap » assurait aux joueurs que l’enveloppe annuelle consacrée à leur salaire ne descendrait pas sous les 2 milliards de dollars (un chiffre proche de ce qu’ils avaient cette année), les joueurs voient dans cette nouvelle proposition une formule détournée pour leur recaser un hard cap.

« Jusqu’à présent, ça n’a pas bougé du tout« , note Fisher. « Ca a été décrit de différentes manières, mais au final c’est un hard salary cap qu’ils veulent créer. Nous ne considérons pas que les raisons qu’ils nous ont données le justifient. Nous avons le sentiment que les équipes ont fait preuve de leur capacité à être créative et à payer les gars qu’elles veulent payer et à ne pas payer les gars qu’elles ne veulent pas payer. Nous pensons qu’elles devraient avoir la possibilité de gérer leur business de manière indépendante, de la manière dont elles considèrent que ça leur convient le mieux.«

On est donc vraiment loin d’un accord et le Bord of Governors prévus jeudi pourrait bien être l’occasion pour les propriétaires de voter le lockout… Une nouvelle rencontre est néanmoins prévue vendredi.

Source: Basketsession.com
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MessageSujet: Re: Actualité   Actualité Timedateicon12Ven 24 Juin 2011 - 20:44

LOCKOUT : LES JOUEURS RESTENT SOLIDAIRES

A la veille d’une journée décisive pour l’avenir de la NBA, les joueurs sont plus unis que jamais. United they stand !

Alors que se prépare aujourd’hui la dernière session de négociation prévue avant le 30 juin, date d’expiration du CBA, la journée d’hier a déjà été lourde d’implications pour le conflit joueurs-propriétaires.

Alors que la draft se déroulait de l’autre côté de l’Hudson, près de 60 joueurs (dont KG, Pierce, Paul, Griffin et Terry) se sont réunis à Manhattan pour discuter une nouvelle fois de l’avancée des négociations et surtout pour montrer le front commun et uni qu’ils opposent aux proprios, eux-mêmes très unis dans la bataille comme l’a rappelé David Stern mardi.

Bill Simmons, d’ESPN, semble toutefois penser que deux types de proprios se détachent (les riches et les plus-que-riches, pour grossir le trait) et qu’à terme, cela pourrait amener des divisions au sein de cette alliance, qu’il considère un peu de façade, notamment à propos de la répartition des revenus entre teams.

L’association des joueurs, toujours d’après le Sports Guy, voudrait que les propriétaires se mettent d’accord (entre gros et petits marchés) et viennent ensuite négocier quelque chose que les joueurs considèreraient plus juste, car plus représentatif de la réalité NBA (avec des équipes aux moyens immenses tout comme des équipes moins bien loties, que les propriétaires semblent prendre en exemple au niveau des pertes et qui nient ainsi l’existence des premières).

« Nous adorerions éviter un lockout mais nous sommes unis, si c’est ce qui doit arriver », a expliqué Derek Fisher, le président du syndicat des joueurs.

Ce conflit qui s’éternise maintenant doit donc absolument trouver sa solution avant jeudi prochain, ou bien les propriétaires décideront de mettre la clé sous la porte jusqu’à nouvel ordre, comme c’est le cas actuellement en NFL, et cela laissera alors la place aux actions juridiques. Le vote de ce lockout pourrait même avoir lieu lors de la réunion entre propriétaires de mardi à Dallas.

Les joueurs ont déjà catégoriquement refusé les propositions de « Hard Cap » (aucun dépassement du Salary Cap) mais aussi les « remises » de 7 milliards, au profit des propriétaires, sur la durée du futur CBA (10 ans dans l’esprit des proprios).

« Nous sommes plus unis que nous ne l’avons jamais été. On nous a bien donné pour consigne de ne pas accepter de deal qui serait injuste envers les joueurs », a renchéri Fisher.

Les joueurs proposent donc une réduction de salaire (estimée à 500 millions sur les 5 ans) en diminuant leur part de revenus de 57% à 54,3%.

Les propriétaires verraient plutôt l’aspect financier du deal de cette façon : un salary cap « flexible » (avec une masse salariale ciblée à 62 millions par team) et une distribution 50-50 des revenus, mais où ceux-ci seraient calculés différemment à la base.

C’est le futur de la NBA qui se joue cette semaine et Kevin Garnett, qui a connu le lockout de 99, a voulu mettre l’accent sur ce point lors de ses déclarations.

« C’est une situation où vous instituez maintenant ce qui se passera plus tard. Il y a tant de joueurs qui sont là depuis 3-4 ans… Le deal que l’on va faire aura une influence sur eux mais aussi sur ceux qui suivront. Il est impératif pour nous d’être en total accord », a déclaré KG.

Billy Hunter, le Directeur executif de l’Association des joueurs, a aussi loué et réafirmé l’union qui se dégage des joueurs, mais aussi leur volonté de parvenir a un accord.

« Ce que vous voyez ici, c’est la NBA, un microcosme de 450 joueurs que nous représentons.[...] Les joueurs veulent un deal, ils veulent un deal juste, ils ne veulent pas de lockout. »

Source: Basketsession.com
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MessageSujet: Re: Actualité   Actualité Timedateicon12Mer 29 Juin 2011 - 14:11

Le lock-out décrété vendredi?

Représentants des clubs et des joueurs se réunissent une dernière fois jeudi. En cas d'échec des négociations, le lock-out pourrait être décrété.

David Stern, le patron de la NBA, va essayer de concilier les intérêts des propriétaires de clubs et ceux des joueurs. (REUT)
C'est sans aucun doute la réunion de la dernière chance avant un lock-out en NBA. Les propriétaires des clubs et les représentants des joueurs se rencontrent jeudi pour tenter de trouver un accord. Si les négociations échouent, les propriétaires pourront décréter un lock-out, une grève patronale, qui serait le premier arrêt de travail en NBA depuis la saison 1998-99, à l'époque amputée de 32 matches (sur 82). «Je souhaite que nous arrivions à un accord pour continuer de grandir, pour que notre syndicat (de joueurs) soit toujours le syndicat le plus rémunéré au monde, pour donner l'opportunité à nos équipes de faire des profits et rendre notre championnat toujours plus compétitif», a déclaré David Stern, le patron de la NBA.
Néanmoins, le pessimisme entoure ces nouvelles discussions. Un important fossé demeure entre les propriétaires qui affirment que 22 des 30 clubs perdent de l'argent et les joueurs qui refusent une réduction de leurs revenus. Pour assainir une situation financière dans le rouge -300 millions de dollars (environ 208 millions d'euros) de pertes pour la saison- la NBA veut notamment un plafond salarial fixe et des contrats non garantis à durée plus brève. Les négociations s'annoncent donc tendues.

Source: lequipe.fr
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MessageSujet: Re: Actualité   Actualité Timedateicon12Mer 29 Juin 2011 - 14:13

GRANT HILL NE REGRETTE PAS LE LOCKOUT DE 98

Grant Hill pense toujours que le combat de 1998 avait valu le coup d’être mené.

Avec ses 17 saisons, 948 matches et plus de 16 500 points au compteur (et 0 bague, diront les haters), Grant Hill est l’un des quelques vétérans restants à avoir connu le dernier lockout de la Ligue, en 1998-1999.

Les négociations s’éternisant, les mois sans être payés, le temps perdu qu’il n’aura pas passé à martyriser ses adversaires alors qu’il était alors facilement dans le Top 5 des joueurs de l’époque (rappelons ses stats en 97-98 : 21,1 pts, 7,7 rebonds, 6,8 passes et 1,8 interception en 40 minutes de jeu), tout ça ne lui laisse finalement aucun regret.

« Ça vaut toujours le coup. Je pense qu’on y apprend beaucoup… Ça vaut le coup, je pense que le sport s’en est remis. Il est en parfaite santé maintenant » a-t-il expliqué.

Hill base surement son raisonnement sur la saison exceptionnelle venant de s’achever, terminée par des finales en forme d’apothéose au niveau des audiences TV, que l’on n’avait plus connues à si bonne fête depuis 10 ans. Si on y ajoute le fait que la somme de talents actuels dans la Ligue est sans doute inégalée dans l’histoire de celle-ci et que ces stars adulées sont toutes dans des équipes au potentiel commercial énorme, on pourrait croire à un tableau idyllique, mettre les pieds sous la table et attendre novembre prochain avec impatience.

Le gros hic se trouve néanmoins dans le déficit structurel survolant la Ligue tel un oiseau de mauvais augure, les incompréhensions et la volonté de rester sur sa position de chaque partie impliquée dans les negociations actuelles, risquant de mettre en péril l’inexorable essor de la Ligue américaine la plus populaire au niveau mondial, en provoquant un lockout voire une annulation pure et simple de la prochaine saison.

« Je pense que les deux parties sont assez intelligentes pour comprendre ce qui est en jeu. Je suis convaincu qu’ils trouveront ce qu’il y a de mieux pour le sport », a affirmé l’ex-Dukie

Si lockout il devait y avoir, il a en tout cas partagé son expérience avec les plus jeunes au cours de cette saison, que ce soit au niveau des aspects mentaux, physiques ou financiers.

« Tu entends le mot ‘lockout’ et tu ne sais pas ce que ça veut dire. On est tous un peu conditionnés et quand arrivent le Labor Day (fête US se déroulant tous les premiers lundis de septembre), octobre et novembre, on s’attend à jouer. Et puis tout à coup, non, on ne joue pas.

Tu dois rester en forme. Tu dois rester prêt mentalement et physiquement. Tu dois aussi être prudent dans tes dépenses et être sûr que tu peux faire face aux difficultés. Mais les jeunes ont vraiment profité de l’occasion pour poser des questions. »

Plus individuellement, une pause trop importante entre maintenant et le début de la prochaine saison pourrait le pousser, tout comme Jason Kidd, à ranger ses sneakers au placard et mettre un terme à une carrière qui ne devrait pas l’amener très loin du Hall of Fame.

« C’est dur, spécialement pour un vieux comme moi. On doit atteindre certains paliers pendant l’intersaison pour pouvoir être en forme pour le camp d’entrainement. Il y a alors toujours le problème d’en faire trop ou pas assez quand on veut garder la forme. »

En tout cas, Hill ne suit les négociations de cette année que de très loin, « impliqué autant qu’(il) doit être impliqué », tenu au courant des négociations par Josh Childress, le représentant des joueurs des Suns.

« Au moins, on a le luxe d’avoir déjà connu ça avant.[...] Ça avait été fou alors, ça pourrait le devenir cette fois-ci », a-t-il prophétisé

LOCKOUT : « ENTREZ DANS L’ESPÉRANCE! »

Le Pape de la NBA, David Stern, a annoncé la date de la dernière réunion joueurs/propriétaires avant un éventuel lockout.



Le meeting de la dernière chance aura donc lieu jeudi, moins de 12 h avant l’expiration du CBA (Collective Bargaining Agreement, régissant les relations joueurs/propriétaires en NBA, pour ceux qui auraient passé les 6 derniers mois sur Mars) le 30 juin à minuit, heure de New York. C’est David Stern qui l’a annoncé et, tout en repoussant la faute sur le syndicat des joueurs pour avoir ce meeting si proche de l’échéance, le Commissionner a aussi indiqué être confiant sur l’issue des négociations, quitte à utiliser la possibilité de repousser cette date limite.

« On était prêts pour ce weekend. Ils (le syndicat des joueurs – ndlr) nous on dit qu’il savaient qu’on se rencontrait ce mardi donc ils nous ont demandé si l’on pouvait se voir mercredi ou jeudi. Nous avons dit que les deux possibilités nous allaient et ils nous ont indiqué jeudi. Nous avons indiqué que cela nous allait très bien. » a expliqué le Commish dans une description à faire pâlir d’envie un scénariste des « Feux de l’Amour ».

« Nous avons hâte d’avoir cette réunion » a renchéri Mr Stern.

La réunion de mardi entre propriétaires que Stern mentionne plus haut était une des plus importantes du processus, maintenant entamé depuis plus de 16 mois. En effet, c’est lors de celle-ci que les proprios des franchises pouvaient voter pour autoriser la mise en place d’un lockout. Il n’en a rien été mais les millionnaires ont tout de même informé le « Labor Relations Committee » (organisme chargé des relations patron/employés au sein du « Board of Governors », le Conseil d’Administration de la NBA) d’être prêt à prendre les mesures nécessaires au cas où il n’y ait pas d’accord.

On leur a fourni une update sur la situation des négociations mais ils ont aussi pu discuter d’un nouveau plan pour la redistribution des revenus entre teams. Cet aspect est particulièrement important car cela semble être une sorte de situation inextricable où « le serpent se mord la queue ».

En effet, l’union des joueurs voudrait voir cette nouvelle redistribution entre teams être prête avant de négocier avec eux alors que les propriétaires disent, eux, qu’ils ne peuvent rien faire avant d’avoir un deal avec les joueurs.

« C’est dur. On a discuté de principes, d’idées et autres, mais il est dur d’arriver au bout de l’un sans avoir l’autre » a expliqué Stern.

On s’attend donc à une certaine tension lors du meeting de jeudi qui devrait néanmoins se dérouler avec moins de participants (tant du côté des joueurs que des proprios) que celui de vendredi dernier (où plus de 60 joueurs s’étaient pointés a Manhattan). Les joueurs n’y avaient pas fait de nouvelles propositions et la NBA semble dans l’expectative sur le fait de savoir si le syndicat, emmené par Billy Hunter, va arriver jeudi avec une tentative de conciliation en tête.

On laissera le mot de la fin à David « Sun Tzu » Stern qui nous livre la maxime du jour, sur laquelle on pourra philosopher pendant quelques mois au cas où les deux camps n’arrivent pas à se mettre d’accord demain.

« Rien dans ce monde n’est absolu. »
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MessageSujet: Re: Actualité   Actualité Timedateicon12Lun 4 Juil 2011 - 7:42

LES JOUEURS NBA OUT POUR L’EURO ?

Le lockout pourrait empêcher les joueurs NBA de jouer cet été.

Il ne manquait plus que ça. Pour une fois que l’équipe de France pensait pouvoir aligner son équipe « type » rêvé sans craindre de trop se faire snober par ses joueurs NBA, voilà que le lockout remet tout en question.

Le problème des assurances vient en effet empoisonner les choses, car tant que le lockout dure, les joueurs ne sont plus couverts en cas de blessure.

Du coup, la France, comme d’autres pays cherchent actuellement le moyen de faire assurer leurs joueurs NBA sans avoir à donner un rein en échange… Pas simple.

« Nous sommes actuellement en train d’essayer de lever les fonds nécessaires pour couvrir les coûts additionnels et trouver quelqu’un qui puisse nous aider, que ce soit le gouvernement ou un sponsor », a expliqué Jean-Pierre Siutat à FIBA.com.

« Comme nous avons six joueurs NBA, cela représente une somme d’argent importante. »

On n’est pas sorti de l’auberge…
(Le prototype du grand n'importe quoi Sad)

KIRILENKO EN ESPAGNE, NOWITZKI À L’EURO ETC…

Petit tour d’Europe rapide du lundi matin, news transferts et autres.



Sergio Scariolo, nouveau coach de Milan, annonce avoir été un temps en contact avec le duo Jasikevicius/Lavrinovic. Les négociations ont échoué. Le club serait sur un autre lituanien de standing.
Nowitzki laisse entendre qu’il devrait être avec l’équipe nationale, après avoir laissé planer le doute il y a quelques semaines.
Olin Edirne (Euh…) signe Wes Wilkinson (Le Havre) pour une saison.
Le Benneton Trevise annonce officiellement l’arrivée de Sasha Djodjevic comme head coach.
Goran Suton quitte Biella pour le Cibona.
Caserte signe Luca Garri (Pepsi Caserta) pour deux saisons.
Saragosse fait une offre d’extension à Carlos Cabezas.
Montegranaro laisse Kristof Ongenaet libre de tout contrat.
Bojan Marjanovic quitterait le CSKA pour le BC Nizhny Novgorod.
Pesaro signe Ricky Hickman pour une saison.
Andrei Kirilenko, free agent, s’intéresse à la Liga ACB. En attente d’offres, son agent donnera suite dans quelques semaines.

PAU GASOL VEUT REVENIR EN EUROPE

Le pivot espagnol n’a pas l’intention de se tourner les pouces pendant le lockout.

Maintenant que le lockout est effectif, on devrait assister (ou pas) au retour dans leurs pays respectifs de quelques NBAers européens.

Ce devait être le cas de Pau Gasol qui a confirmé son désir de revenir jouer en ACB à condition que le lockout dure un moment. Mais le problème, c’est que l’Espagnol ne se voit pas s’engager pour quelques mois seulement dans une équipe :

« Je pense venir jouer en Espagne mais ça va être difficile. Jouer juste quelques mois serait injuste pour l’équipe avec laquelle je vais m’investir. Mais je ne veux pas avoir un blanc d’une année si la saison est annulée. C’est quelque chose qui me semblerait très bizarre sachant que la NBA se portait bien », a-t-il confié sur la chaîne espagnole TVE.

Au-delà de l’aspect « renfort temporaire » , les joueurs qui voudront intégrer les championnats européens devront également régler le problème d’assurance qui se posera.

Bref, on attend de voir pour le croire.

Source: Basketsession.com
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MessageSujet: Re: Actualité   Actualité Timedateicon12Mer 13 Juil 2011 - 7:45

TY LAWSON ÉCRIT UNE NOUVELLE PAGE DE L’ARROGANCE US


Tous les joueurs NBA ne devraient pas penser à s’expatrier…

Depuis le début de lockout il y a quelques jours, il n’y a pas une journée qui se passe sans qu’un joueur NBA soit annoncé en partance pour l’Europe, et principalement l’Europe du Sud (Turquie, Italie, Espagne…). Si la plupart des joueurs ont expliqué que cela leur permettrait de rester en forme, de découvrir un autre basket, de se renforcer ou encore de voyager et de s’épanouir, d’autres n’ont pas forcément toujours eu la bonne explication pour justifier leur possibilité de s’expatrier.

Interrogé sur le sujet, Ty Lawson a ainsi réussi à faire preuve d’une belle arrogance typique de certains jeunes joueurs américains. Après le Team USA u19 qui a préféré aller à la plage la veille du ¼ contre les Russes, voici notre NBAer qui dit être prêt à :

« Aller en Italie glander un peu. J’ai jamais été là bas, ça peut être intéressant. »

TV : SHAQ REJOINT TNT !

Les fans du Shaq peuvent être rassurés, malgré sa retraite, il continuera d’animer la NBA.

Selon Darren Rovel de CNBC, le légendaire pivot fraichement retraité aurait trouvé un accord avec le groupe Truner et devrait rejoindre l’équipe de TNT pour la saison prochaine.

LES LAKERS, L’ÉQUIPE DE BYNUM ?

La franchise de L.A. serait en train de tourner la page pour de bon.

D’après un insider très proches des Lakers, c’est une véritable mini révolution qui se trame actuellement en coulisses. Depuis que Jerry Buss a commencé de passer la main à son fils Jim, on sentait le vent tourner, mais ce n’était visiblement qu’un début.

La sortie de route surprenante des Lakers face aux Mavs et le départ à la retraite de Phil Jackson après le premier sweep de sa carrière étaient déjà lourds de sens, tout comme le fait que le jeune Buss ait choisi de recruter un nouveau coach sans même consulter Kobe Bryant. C’est qu’il faut désormais s’attendre à ce que la franchise devienne l’équipe d’Andrew Bynum.

« C’est clairement ce qui est en train de se passer », a confié cet insider à HoopHype.

« Jim Buss est en train de faire monter Drew dans la hiérarchie. »

On sait depuis longtemps déjà que Bynum est le « projet » personnel de Jim Buss et que c’est lui qui a systématiquement mis son véto à toutes les rumeurs de trade impliquant le jeune pivot, mais les choses semblent s’accélérer.

La saison dernière, l’assistant Chuck Person avait eu pour mission de restructurer la défense des Californiens autour de Bynum, de façon à ce qu’il puisse plus rester sous le cercle et qu’il ait moins besoin de bouger.

Même si ça a parfois bien fonctionné durant la saison, la série contre les Mavs a mis en lumière à quel point la défense de L.A. pouvait être friable, alors même que les deux titres précédents avaient été remporté justement grâce à cet aspect du jeu angeleno.

De l’autre côté, Bynum demanderait à être plus impliqué en attaque et c’est justement l’expérience de Mike Brown auprès de Tim Duncan et de David Robinson qui aurait, en partie du moins, plu au staff californien au moment de le recruter. Le problème, c’est que de son côté, Kobe veut que Gasol et lui reste les deux principales options offensives et que Bynum se contente de jouer son rôle.

Et on peut le comprendre. Kobe et Pau sont probablement les deux joueurs les plus complets offensivement, de toute la ligue, à leur position tandis que Bynum n’a toujours pas réussi à jouer une saison complète et que son principal atout reste la défense.

Bref, la guerre de pouvoir vient seulement de commencer dans l’ombre de L.A. et on ne sait pas encore comment elle va tourner…

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MessageSujet: Re: Actualité   Actualité Timedateicon12Mer 13 Juil 2011 - 8:01

« THE DECISION », 1 AN APRÈS


Et si, finalement, « The Decision » avait été la meilleure chose que la Ligue pouvait espérer ?


« The Decision », un évènement qui, tout autant que le nouveau CBA actuellement en négociations, aura changé le paysage de la NBA pour de nombreuses années et semble avoir sonné le début du règne des joueurs au niveau des relations avec leurs dirigeants.

Néanmoins, malgré le côté néfaste et égotiste de l’émission d’ESPN qui aura valu au King de recevoir son lot de quolibets tout au long de la saison, il est aussi peut-être temps de se demander si ce choix « d’emmener ses talents à South Beach » n’avait pas été en définitive ce qui pouvait arriver de mieux à LBJ et à la Ligue dans son ensemble, en y apportant les nouveaux « bad boys » des années 2010 et des rivalités qui devraient durer pendant une bonne partie de cette décennie.

La genèse
Par intermédiaire d’un récent article de SI.com, on a pu enfin apprendre quelques secrets bien gardés sur la manière dont cette opération de communication avait été pensée et (mal) gérée. Alors que tout partait d’un vrai bon sentiment, celui de fournir des fonds à une institution (le Boys & Girls Club de Greenwich dans le Connecticut, endroit qui donna l’impression à certains dans le secret des dieux qu’il allait signer aux Knicks), la pression et le secret ont été tels que LeBron n’a pu passer que quelques minutes avec les enfants et toute cette opération logistique a finalement plus ressemblé à l’extraction d’un otage en territoire ennemi qu’à celle d’une émission censée célébrer un double MVP en titre.

Sur l’émission en elle-même, qui a généré plus de 6 millions de dollars en publicités (dont 2,5 furent donnés au B&G Club) grâce aux spots TV achetés par les sponsors du King et qui a fait plus d’audience que les Finales 2008, elle n’aura été qu’une lente agonie pour les fans des Cavs, mais aussi pour les fans de la notion d’humilité.

L’interview menant à la révélation de la destination du free-agent le plus courtisé de l’histoire fut une litanie de platitudes, d’ailleurs moquée avec brio par Steve Carrell lors des ESPYS 2011. Le cap au Sud mis par l’enfant d’Akron lui a été reproché par l’impression qu’il donnait de vouloir fuir ses responsabilités en s’associant à un des 5 meilleurs joueurs de toute la Ligue, en plus de l’indélicatesse avec laquelle il annonçait son départ aux fans de la seule équipe qu’il avait alors connue en NBA.

Ainsi, le manque de maturité et l’ego surdimensionné démontrés par LeBron lors de ce show n’ont fait qu’alimenter la rage des haters de ce joueur au jeu ultra-complet mais au mental friable dans les moments chauds (à l’image de sa « disparition » lors des derniers matches contre les Celtics le mois précédent).

Le bilan
A l’issue de la première saison commuen des Tres Amigos, il est possible de tirer un bilan de « The Decision » et de finalement y trouver de vrais points positifs et des réponses aux critiques qui lui avaient été adressées.

Ainsi, plus qu’une envie de se cacher derrière quelqu’un au potentiel au moins aussi grand que le sien (Wade), LBJ a peut-être été le plus lucide de tous et décidé que, vu son âge (le phénomène ne prendra après tout que 27 ans en décembre), il pouvait se permettre de s’entourer d’un leader plus âgé (Wade en a 29) et d’en devenir son lieutenant pendant quelques années avant d’en prendre la relève, une fois quelques titres acquis. Ses 7 années blanches de titres à Cleveland lui auront peut-être fait penser qu’il n’avait pas encore forcément l’envergure d’un leader portant son équipe au sommet et il aura peut-être eu, au final, l’humilité de descendre de son piédestal de #1, contrairement à ce qu’il avait pu afficher, perché sur sa chaise face à Jim Gray.

Ce point pourra toujours être caractérisé par les aficionados de l’histoire de la Ligue, comme Bill Simmons, comme un manque d’ambition et quelque chose que Bird, Magic ou Jordan (les joueurs avec lesquels LeBron a toujours été comparé) n’aurait jamais eu l’envie de faire, trop avides de se mesurer aux meilleurs et de démontrer leur supériorité.

Les légendes ne changent pas de teams (Même JoJo résista aux 33 millions offerts par les Knicks en 98 pour re-signer chez les Bulls à un tarif inférieur de 3 millions), elles en sont les voutes, elles ne cèdent jamais à la fatalité et écrivent leurs plus belles histoires dans l’adversité. LeBron, en troquant le maillot des Cavs pour celui des Heat, a dérogé à cette règle, il en a payé le prix.

En choisissant le Heat, l’ex #23 des Cavs s’est même permis le luxe de former une équipe de copains dont le reste de l’effectif paraissait frugal à côté de ce que lui proposait d’autres franchises. Bill Simmons (entretenant avec LeBron ce rapport amour/haine qui, tout en critiquant vertement son choix, l’a amené à designer LBJ comme un des plus grands athlètes que la terre ait porté et que seuls, selon lui, Jordan et Chamberlain dépassent historiquement en termes d’attentes sportives sur un match) soutient que Chicago ou New York devaient être les destinations les plus logiques :

La Windy City pour la team déjà en place que LeBron aurait alors complétée et Gotham pour la place incroyable que James aurait prise dans l’histoire de la ville, une fois le titre ramené au Madison Square Garden.

Mais, à la lumière de cette saison 2010-2011 finalement plutôt réussie pour le Heat, Miami n’était-elle pas la franchise qui lui garantissait le plus grand confort économique (pas de taxes sur les salaires) et climatique, tout en lui permettant de posséder pour la première fois de sa carrière des coéquipiers de haut niveau (Rappelons que Mo Williams, Anderson Varejao et Zydrunas Ilgauskas étaient sûrement ses meilleurs coéquipiers dans l’Ohio…) ?

Chicago pouvait lui assurer de bons joueurs mais, il y a encore un an, la saison de MVP de D-Rose n’existait encore que dans les rêves de Pooh et LeBron aurait dû porter un poids énorme sur ses épaules, ce qu’il n’avait visiblement plus envie de faire.

La Finale NBA, perdue contre Dallas est finalement venue valider son choix. Un trio de joueurs majeurs en pleine possession de leurs moyens, quelques spot-up shooteurs pour bénéficier des largesses des défenses adverses, le Heat n’a pas dérogé à la recette qu’il avait concoctée dès cet été. Aucune équipe dans l’histoire n’a jamais gagné sans perdre auparavant et le Heat 2010-2011 n’a pas dérogé non plus à cette règle là.

Néanmoins, on peut aller plus loin et dire que si LeBron avait joué comme LeBron lors de ces finales, le trophée ne se trouverait actuellement pas dans les bras de Mark Cuban. Miami menait 2-1 avec 9 points d’avance dans le 4ème quart-temps du Game 4, beaucoup de présidents auraient alors voulu se trouver dans les mocassins italiens de Pat Riley. L’échec face aux Mavs servira de motivation à un groupe qui n’en manquait déjà pas.

La faillite personnelle de LBJ lors des derniers quart-temps de ces finales l’amène devant d’autres décisions tout aussi importantes à prendre pour la suite de sa carrière.

Contrairement à celui de Cleveland, l’effectif de Miami était largement capable de l’emmener au titre, remettant ses propres démons au premier plan. LeBron n’a plus le choix, il doit se parer d’un « go-to » move cet été, capable de le faire passer de joueur surnaturel à celui de joueur inarrêtable. Alors qu’il est capable d’être aligné à tous les postes, grâce à son physique monstrueux (2,03 m pour 115 kgs, mais certains l’estiment plus à 120-25 kgs), l’ailier se contente trop souvent, et depuis trop longtemps, de tirs en périphérie quand il pourrait faire parler sa puissance au poste. Il a lui-même fait sauter en éclats l’excuse de saisons trop harassantes à force de jouer à 1 contre 5, en choisissant de revêtir le même jersey que D-Wade. Cette fois, LeBron James est au pied du mur et c’est « The Decision » qui l’y a amené.

Tout cela doit être pris comme une bonne nouvelle pour les fans du « Chosen One », comme pour les fans de NBA. David Stern ne le reconnaitra jamais mais « The Decision » fut sans doute l’un des faits les plus positifs de l’histoire de la Ligue.

La résonance médiatique de l’évènement, quoi qu’on pense de ce traitement, a introduit la NBA dans tous les foyers et a poussé une cohorte de fans épisodiques à se passionner pour cette première saison des Moheatos (avec des augmentations de 25 à 31% d’audience et de parts de marché pour la saison régulière et des audiences pour les finales rassemblant en moyenne plus de 17 millions de téléspectateurs, et même 24 pour le Game 6 décisif). Le jersey #6 de LeBron, haï par beaucoup, a fini en tête des ventes devant celui de l’ancien ennemi public #1, Kobe, ce qui n’était plus arrivé depuis sa saison rookie en 2003 alors qu’il était encore perçu comme le « sauveur » du sport.

Les matches du Heat à l’extérieur furent comparés à la mythique tournée US 1965 des Beatles (tellement mythique qu’elle est référencée dans un épisode de « Mad Men », série anthologique sur les USA des 50′s et 60′s), d’où le surnom auto-proclamé de « Heatles ». La franchise floridienne est arrivée en tête des ventes de billets pour ses matches à l’extérieur (19 447 en moyenne), devant les incontournables Lakers et Celtics alors que les Cavs sont redescendus à la dernière place (16 200). Lebron James, qu’on l’aime ou le déteste, est le joueur actuel le plus attractif et les gens se déplacent en masse pour le voir, contrairement à la tendance actuelle de la NBA dont les recettes au guichet baissent.

Au final
Finalement, au regard de tous ces faits, on s’aperçoit que la saison que l’on vient de vivre est sans doute la plus passionnante depuis celles des années Bulls de MJ et qu’elle le doit en partie au choix fait par LeBron. Alors que les Taureaux de Chicago, bien que parfois haïs par les fans adverses pour leur trop grand talent, fascinaient par leur domination, les Moheatos n’ont fait que cristalliser en une seule équipe toutes les critiques possibles et imaginables sur la Ligue. « Me against the World » aurait dit Tupac.

Le résultat des finales est aussi ce qui pouvait arriver de mieux à la ligue. Une team gavée de talents (et dont les pancartes de Judas tendent à s’estomper) à la conquête d’un trophée qu’ils ont pu effleurer face à une cohorte de teams vexées et armées pour les arrêter, des dirigeants (Knicks, Nets) tentant d’imiter l’armada floridienne en se disant qu’un trio de stars peut finalement tenir la route, des effectifs en fin de cycle mais avec encore un peu d’essence dans leurs moteurs diesel (Celtics, Lakers, Spurs), des outsiders avides des montrer qu’ils sont la relève de la Ligue (Bulls, Thunder), il serait dommage qu’un lockout trop long annule une saison qui prend déjà des allures mythiques et dont la genèse sera finalement intervenue le 8 juillet 2010 dans un gymnase du Connecticut.

Source; basketsession.com
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